Et si le quiet quitting était un signal de votre quête de sens ?
Ces derniers temps, on parle beaucoup du quiet quitting — cette tendance à “faire son travail, sans plus”.
Pas de rébellion, pas de grande démission.
Juste un désengagement silencieux, une mise à distance émotionnelle du travail.
Mais derrière ce retrait tranquille, il y a souvent bien plus qu’une simple lassitude.
Il y a une quête de sens.
Un besoin de se retrouver, de redonner du souffle à sa vie professionnelle.
Le quiet quitting, un symptôme plus qu’un problème
Contrairement à ce qu’on entend parfois, le quiet quitting n’est pas une marque de fainéantise ou de désengagement volontaire.
C’est souvent une forme d’auto-protection.
Quand vous ne trouvez plus de sens, que l’énergie s’épuise, le corps et le mental tirent la sonnette d’alarme.
Alors, vous faites le strict nécessaire.
Vous vous mettez en “économie d’énergie”.
Vous vous coupez émotionnellement du travail pour ne plus souffrir.
Le quiet quitting n’est pas un choix conscient la plupart du temps — c’est une stratégie de survie.
Le vrai message derrière le désengagement
Et si ce retrait silencieux était une invitation à écouter ce qui ne va plus ?
Car souvent, derrière le “je n’ai plus envie”, il y a :
“Je ne vois plus le sens de ce que je fais.”
“Je ne me reconnais plus dans mes missions.”
“Je me sens épuisé·e à force de donner sans recevoir.”
“Je rêve d’autre chose, mais je ne sais pas encore quoi.”
Le quiet quitting devient alors un miroir : un signe que quelque chose, dans votre travail ou dans votre manière de le vivre, a besoin d’évoluer.
Reprendre le fil de votre histoire professionnelle
Plutôt que de vous juger pour ce que vous ressentez, vous pouvez transformer cette phase en opportunité d’introspection.
Et c’est précisément là qu’un bilan de compétences peut vous aider.
Cet accompagnement permet de :
✅ faire le point sur votre parcours, vos forces et vos valeurs,
✅ comprendre ce qui vous motive vraiment,
✅ explorer de nouvelles pistes concrètes, réalistes et alignées avec qui vous êtes aujourd’hui.
C’est un moment pour reprendre la main sur votre trajectoire,
retrouver de la clarté, et surtout, du sens.
En pratique : comment amorcer cette réflexion ?
Voici quelques pistes simples pour commencer :
Observez votre niveau d’énergie au travail : qu’est-ce qui vous épuise ? qu’est-ce qui vous nourrit encore ?
Listez vos réussites récentes, même les plus petites : qu’est-ce qui vous rend fier·e ?
Demandez-vous : “Qu’aimerais-je ressentir dans ma vie professionnelle que je ne ressens plus aujourd’hui ?”
Ces premières réponses sont déjà les germes d’un nouveau projet.
Conclusion
Le quiet quitting n’est pas un échec.
C’est parfois la première étape vers un nouveau chapitre de votre vie.
Vous n’avez pas besoin de tout plaquer pour retrouver du sens, mais vous pouvez écouter ce signal et vous autoriser à réfléchir autrement.
👉 Et si vous transformiez ce désengagement silencieux en point de départ ?
Découvrez comment un bilan de compétences peut vous aider à retrouver du sens et de l’élan.